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Qu’est-ce que l’arythmie cardiaque ?

L’arythmie cardiaque se définit par un rythme cardiaque irrégulier non justifié. En effet, il est normal de constater une fréquence cardiaque plus élevée lors d’un effort par exemple, ou pendant une situation de stress. Ce trouble cardiaque très fréquent se décline en plusieurs pathologies, que nous allons voir dès à présent. Les différents types d’arythmie cardiaque La tachycardie : cette arythmie cardiaque se caractérise par un rythme cardiaque de plus de 100 battements par seconde. Le type de tachycardie la plus fréquente est la fibrillation auriculaire, que l’on rencontre chez les seniors. D’autres variantes existent, comme la flutter auriculaire, la tachycardie supraventriculaire, la tachycardie sinusale ou l’extrasystole auriculaire. La bradycardie : à l’inverse de la tachycardie, la bradycardie désigne un rythme cardiaque inférieur à 60 pulsations par minute. En revanche, ce phénomène n’est pas forcément anormal. En effet, les sportifs enregistrent une fréquence cardiaque faible de 40 battements par minute en moyenne. Dans ce cas, la bradycardie est signe de bonne santé. En revanche, ce phénomène est problématique, lorsque le cœur ne parvient plus à alimenter les organes en oxygène. Les causes de l’arythmie La première cause de l’arythmie cardiaque est le vieillissement. En effet, le cœur est un muscle et se fatigue avec l’âge. D’autre part, le stress, la consommation tabagique, d’alcool ou d’excitants peuvent également être à l’origine d’une arythmie, au même titre que certains médicaments ou d’une insuffisance coronarienne. Le traitement de l’arythmie cardiaque Le diagnostic d’une arythmie sera posé, à la suite d’un électrocardiogramme, d’une holter cardiaque et d’un test à l’effort. La prise de bêtabloquants sera recommandée en cas de tachycardie. En revanche, la pose d’un pacemaker devra être envisagée, pour soigner la bradycardie. Mais, le saviez-vous, il existe aussi un trainement naturel de l’arythmie cardiaque.

Obésité : le gouvernement s’attaque à un problème de poids

Le point en France La France n’échappe pas à l’épidémie de l’obésité, plus de 500 000 cas d’obésité sévère ont été recensé. Un français sur deux est en surpoids et environ 8 millions de personnes ont été classées obèses soit 15,7 % de la population adulte. Afin de minimiser les risques, le ministre de la santé Agnès Buzyn a établi une feuille de route 2019-2022. Lutte contre le surpoids et l’obésité Cette feuille de route présente la solution pour prendre en charge l’obésité (prévention et suivi) qui se trouve être un handicap impactant sur la vie sociétale et professionnelle d’un individu. Une allocation annuelle de 3,7 milliards d’euros est dédiée à l’hôpital et 2,8 milliards d’euros aux soins de ville. Ce plan donne la priorité à la prévention de l’obésité dès le plus jeune âge. Il a pour objectif de réduire le taux de l’obésité d’ici 2023 : 15% chez l’adulte et 20% chez l’enfant. La feuille de route permettra une meilleure coordination des professionnels de santé en ville et à l’hôpital. Ainsi, le patient pourra bénéficier de soins bien coordonnés allant du repérage jusqu’aux traitements des éventuelles complications. Avec ce plan, le ministre entend mieux gérer la réalisation des chirurgies de l’obésité qui ne cessent d’augmenter chaque année. La France fait partie des pays où cette intervention est très courante, avec 60 000 opérations. Souvent, la chirurgie bariatrique implique des complications c’est pourquoi le ministre a instauré des mesures plus strictes. Désormais, la pratique doit se faire sous autorisation et dans le plus grand respect des engagements pour une meilleure prise en charge et suivi des patients. 37 CSO ou centres spécialisés de l’obésité ainsi qu’un comité de suivi de l’obésité ont été créé pour que chaque patient puisse avoir un traitement adéquat. Pour concrétiser cette feuille de route, les centres recevront 3 millions d’euros et seront opérationnels dès 2020. Si vous êtes concerné par ce problème, nous ne pouvons que vous inviter à prendre contact avec un spécialiste, à pratiquer une activité physique régulière, à revoir votre alimentation, voire à prendre des compléments comme le raspberry ketone : www.framboise-cetonique.fr.

Comment porter un snood femme pour être à la mode ?

Un snood femme est une écharpe tubulaire que l’on enroule autour du cou telle un foulard. Généralement, il permet de se protéger du froid. Cependant, il se porte très bien aussi pendant les périodes moins froides, voire toute l’année. Parmi les accessoires de mode les plus tendance, l’écharpe tube fait partie des pièces essentielles qu’une femme devrait avoir dans son dressing. Porter un snood femme en hiver Le snood permet de garder le cou bien au chaud en hiver. Pour cela, il faut choisir ceux faits en maille épaisse qui réchauffent mieux que ceux en cachemire ou en soie par exemple. Ensuite, il faut enrouler deux fois le snood autour de son cou pour former un 8. Le manteau se marie parfaitement à cette façon d’enfiler l’écharpe tube pour femme. Cela permet aussi d’avoir un look très élégant et de bien se protéger du froid à la fois. Cet accessoire de mode sert également à couvrir les oreilles. Pour cela, il faut le remonter jusqu’à la tête pour en faire un bonnet. Cela est aussi très tendance et on sera encore plus stylée si on porte une doudoune longue pour l’accompagner. Porter un snood femme en automne ou au printemps Même quand il fait beau et qu’on a moins froid, on peut toujours porter un snood. Il peut très bien être associé à une chemise. Cela est très joli à voir si on sait marier les couleurs comme il faut. Portée avec une jupe, une écharpe tube pour femme permet aussi d’avoir un look très chic.  Pour que ce soit réussi, il faut enfiler le snood comme un sautoir. Pour ne pas avoir trop chaud, le mieux est de privilégier les matières légères faites de fils légers.

Que sont les récepteurs GABA ?

Un récepteur est une protéine permettant la transmission de messages entre les neurones, les cellules nerveuses capables de traiter des informations et de les communiquer à travers tout le système nerveux, et jusque dans le cerveau. Le récepteur GABA est une protéine particulière, dont la mission est de recevoir les messages envoyés par le GABA, c’est-à-dire l’acide gamma-aminobutyrique, un neurotransmetteur inhibiteur. Qu’est-ce que le GABA ? Comment fonctionne son récepteur, et quelles sont les conséquences d’un éventuel dysfonctionnement ? C’est ce que nous vous proposons de découvrir. Comment fonctionne un récepteur GABA ? La libération du GABA, le neurotransmetteur inhibiteur, a pour effet d’augmenter le potentiel électrique négatif du neurone. En d’autres termes, le GABA limite l’excitabilité du neurone, c’est-à-dire sa capacité à capter les informations et à les transmettre. En d’autres termes, l’acide gamma-aminobutyrique inhibe l’action de cette cellule nerveuse. La libération du GABA en direction de son récepteur permet de ralentir l’activité cérébrale. Le GABA agit comme un relaxant et intervient d’ailleurs dans le processus d’endormissement. En outre, le récepteur GABA est également sollicité après une période de stress. Le neurotransmetteur inhibiteur enclenche alors un mécanisme complexe, ayant pour effet le ralentissement du rythme cardiaque et la baisse de la pression artérielle. En d’autres termes, le GABA actionne le processus de détente et de relâchement. Pour cela, il augmente les ondes cérébrales alpha (qui sont associées à la relaxation), et diminue les ondes cérébrales bêta, relatives à l’anxiété. Aussi, un dysfonctionnement au niveau de son récepteur peut occasionner des conséquences plus ou moins graves. C’est ce que nous allons voir. Quelles sont les conséquences d’un dysfonctionnement du récepteur GABA ? Lorsque le récepteur GABA est dysfonctionnel, il n’est plus en mesure de recevoir les messages du neurotransmetteur inhibiteur GABA. Aussi, l’organisme ne peut plus de lutter efficacement contre le stress. De ce fait, la personne concernée n’est plus capable de se relaxer et de se détendre. En outre, le dysfonctionnement d’un récepteur GABA occasionne des difficultés d’endormissement, ainsi que la dégradation de la qualité du sommeil. Vous connaissez certainement les maladies liées au dysfonctionnement de ces récepteurs. Il s’agit, entre autres, de l’autisme, de la bipolarité, mais aussi de la dépression, de l’épilepsie, de certaines formes de démence mais aussi de la fibromyalgie, de la maladie de Crohn également. En effet, les troubles du récepteur GABA entrainent aussi des problèmes digestifs relativement graves, mais aussi une baisse des défenses immunitaires. Le CBD, une solution au dysfonctionnement du récepteur GABA ? En termes scientifiques, le CBD est qualifié de « modulateur allostérique du GABA ». Plus simplement, le cannabidiol (le principe actif légal que l’on retrouve dans le chanvre) améliore la transmission entre le neurotransmetteur GABA et son récepteur. De ce fait, le cannabidiol encourage la relaxation et permet de soulager efficacement le stress. Le CBD est une alternative naturelle aux benzodiazépines, comme le Xanax ou le Valium, des médicaments anxiolytiques visant à soulager les angoisses et les troubles de l’humeur. Aussi, le cannabidiol est vivement recommandé aux personnes souffrant de dépression, de stress chronique, mais aussi d’insomnie ou de stress post-traumatique, entre autres.